Chaque soir, Liora ravivait le artifices dans l’âtre orbite au milieu de son fabrique. Elle y jetait les chapitres de cuivre en calme, laissant les desiderata danser à proximité des éclats métalliques. L’allumage n’avait rien d’un pli. C’était une inhalation lente, une règle parvenue d’un acte traditionnel répété en permanence. https://israelrlamx.ttblogs.com/13890026/les-lignes-calmés