Chaque matin, évident l’arrivée du issu visiteur, la guérisseuse descendait dans l’ossuaire en calme. Le sol était toujours flegmatique, même marqué par les chaleurs écrasantes de la saison. Là, prêts à bout portant sur des dalles brisées, les crânes l’attendaient. Elle ne les touchait jamais sans un habitude de clarification, https://manuelobmvf.snack-blog.com/34168123/les-crânes-silencieux