Les nuits dans le sanctuaire devinrent plus longues, plus lourdes de silences entre les murmures. Itzamna, fidèle à son habituation, attendait que l’obsidienne traite à nouveau. La joyau noire semblait absorber la lumière sélénien, pervibrer marqué par la pression du vent, et parfois, sans avertir, elle résonnait de cette voix https://voyance-gratuite-en-ligne67899.onesmablog.com/les-traces-effacées-74519676