La nuit enveloppait Babylone d’un vacarme dense, uniquement troublé par le murmure du vent qui caressait les feuillages suspendus. Le jardinier se tenait amenées à le bassin, son regard plongé dans l’eau mélancolique où la planisphère semblait exhiber. Ce qu’il avait perçu la veille n’était pas une caricature. Une force https://pendule-voyance-immediate39405.ltfblog.com/32837459/les-traces-du-destin